La Praluline : Essai numéro 1
En me baladant à Paris, je passe devant une vitrine qui vend des pralines roses, ces amandes enrobées de sucre caramélisé et coloré...et là, je bloque, grand dilemme, car je me trouve devant une boutique absolument affolante "La Mère de Famille" (clic)...je me décide à entrer car je recherche ces pralines depuis longtemps afin de confectionner la célèbre Praluline (clic), inventée en 1955 par Monsieur Pralus à qui on dit merci ! Quand on rentre, comme c'était le cas, chez la Mère de Famille avec une idée en tête, on en ressort avec plein d'autres dans ses sacs...conclusion : pralines roses + amandes aux 3 chocolats avec un léger parfum de cannelle + nougat amandes et pistaches...prévoir un solide programme sportif pour déguster tout cela ! lol ! ;p
LA PRALULINE : BRIOCHE AUX PRALINES ROSES
Ingrédients :
- 250 g de farine
- 1 cuillère à soupe de sucre
- 1 pincée de sel
- 3 œufs
- 1 sachet de levure (type Briochin)
- 175 g de beurre mou
- 250 g de pralines roses concassées
Préparation :
- Commencer par délayer la levure dans un peu d’eau à peine tiède
- Mélanger la farine, le sucre et la pincée de sel dans un grand saladier et faire un puits
- Battre légèrement les œufs et les placer au centre du puits, par dessus, verser la levure délayée
- Mélanger tous les ingrédients soit à la main (ça colle !), soit avec les crochets du batteur électrique, ramasser la boule à la main à la fin du pétrissage (15 mn environ) et la placer dans un autre grand saladier, recouvert d’un torchon légèrement humidifié, près d’un chauffage ou au four Th 30°, pendant 1h30
- Lorsque la pâte a doublé de volume, la rabattre (la plier 3 ou 4 fois et reformer une boule) et y incorporer les pralines roses, la placer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé puis la laisser gonfler de nouveau 1h30
- Ensuite, enfourner la Praluline pour 30 mn à 180°
Cooxi-blabla : ahhh, cette pâte à brioche m'a causé bien du soucis, pour commencer, la première pâte a été directement à la poubelle car j'avais oublié de diluer la levure (pfff !), quant à la seconde, elle n'a pas connu de répit car pour la laisser gonfler, j'ai dû la sauver à plusieurs reprises des griffes de mon chat glouton qui avait la fâcheuse envie de la pétrir aussi (au travers du torchon) !!!
Ma chère Praluline, nous nous reverrons, Cooxinelle n'a pas dit son dernier miam ! :))